L’environnement social au sein duquel un enfant grandit entraine des modification épigénétiques profondes.<br /><br />C’est ce qu’indique une nouvelle étude à long terme portant sur 2 000 enfants nés en Angleterre et au Pays de Galles.<br /><br />Les chercheurs ont remarqué des différences au niveau de l’épigénome.<br /><br />Il s’agit des protéines et des composés chimiques qui régulent l’activité des gènes.<br /><br />Ces résultats peuvent aider à expliquer comment apparaissent les disparités en matière de santé entre les communautés.<br /><br />Il n’est pas encore possible de savoir si ces différences sont durables ou pourraient être modifiées.<br /><br />« Cette recherche est un rappel important que l’environnement et les gènes travaillent ensemble pour façonner notre santé ».
