Les députés entament l'examen du texte qui prévoit d'interdire la diffusion d'images de membres de forces de l'ordre à visage découvert.<br />Pourra-t-on risquer la prison en diffusant l'image d'un policier ou d'un gendarme ? Oui, s'il est identifiable et que le but est de lui porter atteinte physiquement ou psychologiquement.<br />Les débats s'annoncent houleux dans l'hémicycle alors que des associations s'alarment des conséquences possibles si la loi est votée en l'état.
