Après plusieurs années d’observation, l’ancienne présidente de la transition en République Centrafricaine sort de son silence et donne son point de vue sur la gouvernance actuelle de son pays à l’approche des échéances électorales présidentielles et législatives dont le premier tour est prévu pour le 27 décembre prochain.<br />Une gouvernance qu’elle juge entachée de beaucoup d’irrégularité et souhaite par la même occasion que cette page soit tournée au profit d’une nouvelle Centrafrique