<p>Le secrétaire d’État américain Antony Blinken s’est engagé mardi à reconstruire et à revitaliser l’alliance militaire transatlantique de l’Otan et à informer les alliés des plans américains sur un éventuel retrait d’Afghanistan.</p> <br /> <br /><p>S’exprimant lors de sa première visite au siège de l’Otan, à Bruxelles, Antony Blinken a déclaré que l’alliance se trouvait à un moment charnière pour faire face aux menaces qui pèsent sur le monde entier, notamment le changement climatique.</p> <br /> <br /><p>«[px_nbsp:nbsp]Je suis venu ici pour exprimer l’engagement inébranlable des États-Unis (envers l’Otan)[px_nbsp:nbsp]», a déclaré Antony Blinken aux journalistes alors qu’il rencontrait le secrétaire général de l’Otan, le norvégien Jens Stoltenberg.</p> <br /> <br /><p>Après quatre années de frictions avec Washington sous la présidence de Donald Trump, l’administration Biden multiplie les signaux d’ouverture à l’égard de l’Otan et de l’UE.</p> <br /> <br /><p>Fini donc le conflit perpétuel et les tweets outranciers. Pour Jeff Hawkins, ancien ambassadeur américain et chercheur associé à l’Iris (Institut de Relations Internationales et Stratégiques), les relations transatlantiques seront plus souples et moins agressives avec l’administration Biden, «[px_nbsp:nbsp]un président totalement attaché à l’alliance transatlantique ».</p> <br /> <br /><p> </p> <br />