Rebecca Clarke, compositrice et altiste britannique, a rencontré le succès sous son nom... mais aussi avec des noms d'emprunt. En 1918, par modestie - parce que son nom apparaît un peu trop sur le programme - la compositrice décide d’utiliser un pseudonyme masculin pour présenter sa dernière pièce. Un stratagème qu'elle réutilise quelques années plus tard. <br /><br />Ecoutez la chronique d'Aliette de Laleu : https://bit.ly/3HtPon6<br />Ecoutez la sonate pour alto et piano de Rebecca Clarke : https://www.youtube.com/watch?v=oWpYa33AiP4<br /><br />#RebeccaClarke #compositrice #AliettedeLaleu #alto #MusiqueClassique<br /><br /><br />Pour plus de contenu France Musique rendez-vous sur https://www.francemusique.fr/<br /><br />Cliquez ici pour vous abonner : http://bit.ly/2oeEr3e <br /><br />Suivez-nous sur :<br />► Facebook - https://facebook.com/FranceMusique<br />► Twitter - http://bit.ly/2okZSfP<br />► Instagram - http://bit.ly/2nDA547
