Nucléaire, gaz, idéologie, financement... Plongée dans une organisation<br />moins écolo qu’il n’y paraît. <br /><br />https://www.lepoint.fr/politique/l-autre-visage-de-greenpeace-20-07-2022-2483839_20.php#xtatc=PUB-[Blocs_ventre_HP]-[]-[les_grandes_enquetes_du_point]-[2483839]<br /><br />Depuis sa création en 1971 par un groupe de hippies et d’opposants à la guerre du Vietnam protestant contre des essais nucléaires américains prévus au large de l’Alaska, la mythique ONG a changé de dimensions, avec ses 410 millions d’euros de budget pour l’année 2020.<br /><br /> « Le premier objectif de Greenpeace aujourd’hui est de répandre la peur – du nucléaire, des OGM, de la technologie –, car la peur leur permet de récolter des dons », éreinte Patrick Moore, qui fut l’un des premiers présidents de l’organisation.<br /><br />Historiquement, la lutte contre l’atome est toujours passée avant celle contre le réchauffement climatique, ce qui explique pourquoi Greenpeace a longtemps favorisé le gaz au détriment du nucléaire. Mais pour combien de temps encore ? https://www.lepoint.fr/politique/l-autre-visage-de-greenpeace-20-07-2022-2483839_20.php<br /><br />Suivez nous sur :<br /><br />- Youtube : https://www.youtube.com/c/lepoint/<br />- Facebook : https://www.facebook.com/lepoint.fr/<br />- Twitter : https://twitter.com/LePoint<br />- Instagram : https://www.instagram.com/lepointfr<br />- www.lepoint.fr<br />
