<p>"C’est le dernier acte d’amour que je donne à mes enfants et qu’ils me donnent". Condamnée à mourir après avoir été diagnostiquée de la maladie de Charcot, Katerine Itardi a décidé de recourir au suicide assisté en Belgique, où cet acte est autorisé. Alors que le débat est relancé en France où le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) a publié, mardi 13 septembre, un avis très attendu sur une éventuelle légalisation de l'"aide active à mourir" en France, jugeant une telle évolution envisageable "à certaines conditions strictes", Katerine Itardi a interpellé Emmanuel Macron au micro de Yahoo.</p>
