Depuis le 1er janvier, les arrêts de travail prescrits pour cause de fausse couche sont rémunérés dès le premier jour. Une « avancée sociale » pour certaines. D’autres craignent que l’employeur puisse deviner la raison de l’arrêt et pénaliser par conséquent la femme qui a un désir de grossesse.<br /> Pour suivre toute l'actualité politique et parlementaire, abonnez-vous à notre chaîne YouTube : https://www.youtube.com/user/publicsenat?sub_confirmation=1<br /><br /> Notre site internet : http://www.publicsenat.fr<br /><br /> Abonnez-vous à notre newsletter : https://urlz.fr/iinC <br /><br /> Suivez-nous sur les réseaux sociaux<br />Facebook : https://www.facebook.com/publicsenat<br />Twitter : https://twitter.com/publicsenat<br />Instagram : https://instagram.com/publicsenat<br />LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/2996809/
