#Téléréalité #Aventure #Compétition <br /><br />Une longévité exceptionnelle<br /><br />Ce jeudi 8 février 2024, a été lancée la 18ème édition de l'emblématique émission de télé-réalité Pékin Express sur la sixième chaîne. Stéphane Rotenberg, animateur historique du programme, est à nouveau aux commandes cette année. Il se réjouit du fait que les téléspectateurs soient toujours au rendez-vous saison après saison. "Quand l'émission a débuté, c'était une tout autre époque télévisuelle. Nous avons pu bénéficier d'une grande notoriété à l'époque car les gens n'avaient pas autant de choix de chaînes. Aujourd'hui, dans un paysage télévisuel ultra concurrentiel, nous avons effectivement l'avantage que le public connaisse bien la marque", a confié la star du petit écran dans une interview accordée à Télé 7 jours. "Cette longévité nous est bénéfique. De plus, Pékin Express a marqué plusieurs générations...".<br /><br />Un début mouvementé<br /><br />Le premier épisode diffusé hier a réservé son lot de surprises et de rebondissements, mais un duo en particulier a fait beaucoup parler de lui sur les réseaux sociaux. Il s'agit de Brandon et Nathan, deux frères belges qui ont eu du mal à convaincre les habitants rencontrés lors de leur périple. N'ayant jamais voyagé à l'étranger, ils ont finalement dû abandonner, ce qui a été un véritable choc pour tout le monde. "Nous avions été séduits par leur profil. Des jumeaux attachants, dotés de personnalités très différentes et qui n'avaient jamais quitté la Belgique", a expliqué le partenaire de Nathalie Pisibon. Il était difficile pour lui de rester insensible face à leur désarroi : "Le rythme effréné du début de course les a complètement déstabilisés. Nous n'avions jamais connu ça ! Un abandon si précoce dans la compétition est extrêmement frustrant, autant pour eux que pour nous. Peut-être qu'un jour, nous leur offrirons une seconde chance".<br /><br />Des candidats atypiques<br /><br />En ce qui concerne le reste du casting, Stéphane Rotenberg se réjouit du choix des candidats. "Nous avons sélectionné des anti-héros. Des personnes qui ne sont pas naturellement compétitives sur le papier, et nous avons misé sur l'auto-dérision", a confié le père d'Emma Rotenberg. Beaucoup l'ignorent, mais participer à Pékin Express peut s'avérer complexe à de nombreux niveaux. "Nous voulions qu'ils soient capables de rire d'eux-mêmes, de leurs propres difficultés voire de leurs incompétences, car c'est un programme où ils peuvent se retrouver dans des situations difficiles, voire ridicules", a conc
