2012, après la présidentielle en France, Mikaël Darmon, alors journaliste chef du service politique de la chaine I>Télé, dévoilait "Macron" et "Stéphane Israël", pour flatter une sorte de réal politique de François Hollande favorable au "monde de la finance" qu'il avait prétendu être "son véritable adversaire". <br /><br />Problème 1: <br />- Il le prénomma "Stéphane" ce qui ne permis pas à ceux qui voulaient trouver des informations sur ce Macron qu'il s'appelait en réalité "Emmanuel" <br /><br />Problème 2: <br />- Mikaël Darmon (souvent proche d'Israël) oublia de rappeler qu'Emmanuel Macron avait été protégé et rédacteur de la commission Attali pour Nioclas Sarkozy. <br />Que Jacques Atali se l'était choisi à l'ENA. <br /><br />Attali lui même, ne pouvant déjà plus être identifié "de gauche" puisque s'étant couché pour Sarkozy, la politique qui ressortit de sa commission était clairement anti-sociale et visait à défaire tout conquis du conseil national de la résistance sous couvert de modernité (ce que confirmeront les Uber Files et les choix continus d'Emmanuel Macron) <br /><br />Problème 3: <br />- Mikaël Darmon oubliait de dire qu'avant d'aller chez Rothschild , Emmanuel Macron (non "Stéphane") Emmanuel Macron a réécrit le programme d'Hollande, alors qu'Hollande, en participant aux primaires, avait dû en signer les règles, qui l'obligeait à un programme qui avait été la condition pour y participer. <br />
