"Le pire c'était de voir les cadavres des autres prisonniers qui mourraient suite à la torture ou aux maladies."<br />Un quotidien de torture, de mort, de maladie. Arrêté en 2012, Najah Albukaï raconte l'horreur qu'il a vécu dans une prison syrienne, le centre 227.<br />Ce quotidien, il l'a dessiné et mis dans un livre : "Tous témoins", chez Actes Sud.
