Anna suivait des études de vétérinaire lorsque la guerre éclata. L'armée allemande n'était qu'à 30 kms de Paris lorsqu'une lettre de son père lui parvint. Il était en bonne santé et lui conseillait d'attendre la fin du conflit avant de rentrer en Belgique. Mais "attendre" ne faisait pas partie du vocabulaire d'Anna...