Avec un vent à décorner des boeufs (110km/h), difficile de toréer les Miura qui pourtant ressemblaient plus à des Juan Pedro Domecq, de par leur comportement "toréable". Seul le 5e nous rappellait qu'il s'agissait bien d'une corrida de Miura. Aucune oreille ne fût coupé cette après-midi là.
