« Quand j’étais dans la zone au dessus de 8700 mètres, la bouteille d’oxygène a commencé à fuir »<br /><br />De retour à Alger après son ascension au sommet de l’Everest, Nessim Hachaichi@ se confie à Liik. <br /><br />Avec cet exploit, il souhaite entrainer des générations à la culture de la haute montagne. <br /><br />Lui, qui a déjà repris son travail dans des bureaux, loin, très loin, de l’alpinisme.