En pétard, le ministre est resté fidèle à ses formules chocs ou outrancières, à l’image des jeunes qualifiés de « barbares » après les dégradations commises à Paris lors de la finale de la Ligue des champions. « Il y a d’un côté la France des héros et, de l’autre, la France des Salauds qui tirent sur nos policiers, sur nos gendarmes et sur nos sapeurs pompiers », a lancé Bruno Retailleau face à la presse.
