Ce vendredi, une partie de la classe politique et notamment Emmanuel Macron et François Bayrou ont dénoncé la «haine antisémite» de ceux qui ont abattu l'arbre planté à Épinay-sur-Seine en hommage à Ilan Halimi, jeune Français juif séquestré et torturé à mort en 2006 par le «gang des barbares». Mais pour Emmanuel Blézès, directeur de l’Institut pour l’Audace Politique, «un président de la République ne peut pas se contenter d’un tweet de trois lignes».
