Si Emmanuel Macron a de nouveau le pouvoir constitutionnel de dissoudre l'Assemblée nationale, plus d'un an après l'avoir utilisé au soir des élections européennes, le président affirme qu'il n'envisageait pas cette décision. La possibilité d'une chute de François Bayrou sur un vote de confiance le 8 septembre prochain ne devrait pas changer la donne.