Un panneau gondolé accroché à la porte prévient : « En raison d’une inondation, le greffe de la chambre des mises en accusation est momentanément déplacé au deuxième étage. » A l’intérieur, le désordre est frappant. Bureaux renversés, dossiers abîmés, câbles emmêlés dans des restes de flaques : la pièce garde les traces d’une évacuation précipitée.
