Je regarde l’azur cette absence de tous nuages, les mains dans les poches, sifflotant au vent, l’automne charmant m’offre son spectacle.<br />Belle toile peinte par je ne sais quoi, je ne sais qui ?<br />Le grand hasard peut-être !<br />Sûrement, qui d’autre, quoi d’autre ?<br />J’adresse une dernière prière au disque lumineux qui éclaire nos joies, nos peines.<br />