Trois femmes d’une vingtaine d’années ont été écrouées en octobre dernier à Paris. Elles sont soupçonnées d’avoir préparé un attentat jihadiste, a indiqué samedi le Parquet national antiterroriste. Selon Sacha Belissa, responsable au Centre d’Analyse du Terrorisme (CAT), «les réseaux sociaux facilitent la radicalisation et l’engagement vers le jihadisme».
