partie 1 <br />http://www.dailymotion.com/user/decryptator/video/x9tt8o_le-chemin-de-fer-de-baghdad-1418-1a_news <br />Depuis lors, la famille Saoud assure le contrôle despotique de la région, reposant son autorité sur une <br />structure tribale. L’ensemble du pouvoir est assumé par les membre de la famille Saoud qui ne compte pas <br />moins de 5 000 personnes. <br />Quant au Koweït, au Qatar, à Bahreïn, aux Emirats Arabes Unis et à Oman, la Grande-Bretagne a pris <br />soins d’y installer ses agents à leur tête avant même la fin de l’Etat islamique en 1924. En effet, la famille <br />al Saïd a signé des traités avec la Grande-Bretagne en 1891, la famille al Sabbah du Koweït en 1899, la <br />famille al Thani a suivi le pas en 1915 et de nombreux dirigeants des Emirats Arabes-Unis ont fait de <br />même. <br />L’installation de ces familles par les anglais, a ramené la Péninsule arabique à l’état de jahiliyah, où <br />plusieurs tribus se disputaient le pouvoir du territoire. Cette forme de structure gouvernementale n’a en rien revivifié les musulmans de la région. En effet, en divisant les territoires par des frontières <br />nationalistes, tous les espoirs de progrès se sont envolés tant les dirigeants sont préoccupés par la <br />sauvegarde de leur propre situation et de leurs intérêts personnels. Malgré des rentes pétrolières dépassant <br />de loin celles des pays occidentaux, on remarque qu’aucun progrès, quel qu’il soit, n’a été réalisé. <br />L’argent du pétrole a généré depuis les années 1940, est allé alimenté les comptes des banques suisses et <br />nourrir l’investissement immobilier des nations occidentales. Le nationalisme n’a en rien élevé ces Etats, <br />mais les a, au contraire, davantage soumis au contrôle du kufr. <br />suite ici:http://albadil.edaama.org/pdf/nationalisme.pdf