Incidents et violences cette nuit lors de la soirée caritative du "Bien commun" à Paris, perturbée par l'extrême gauche en raison de ses liens avec le milliardaire Pierre-Édouard Stérin. Alors que l'objectif est de ramener de l'argent à de nombreuses associations qui viennent en aide à des association humanitaires, par exemple aux enfants malades dans les hôpitaux ou encore à des gens dans les besoins, les manifestants de gauche visiblement n'ont pas été gênés et ils ont souhaité que la soirée soit annulée. <br /><br />Plusieurs collectifs et syndicats, dont la CGT, Solidaires ou Attac, ont manifesté bruyamment devant la salle. Des tirs de mortier ont également été lancés depuis le toit du bâtiment, nécessitant l’intervention des forces de l’ordre à l’extérieur, comme en témoignent des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux.<br /><br />Le coup d’envoi de ces rassemblements a été donné le 6 mai dernier à Tours, pour mettre en lumière les « réseaux d’influence réactionnaires » qui se tissent à travers des associations lauréates des Nuits du bien commun <br /><br />Rapidement, d’autres rassemblements ont essaimé dans les villes accueillant ces soirées caritatives, comme à Lyon, Toulouse, Angers, ou encore Aix-en-Provence, qui a marqué un réel tournant le 6 octobre.<br /><br />Ce matin-là, un piquet de grève est monté devant la salle de concert municipale (la 6Mic) qui doit accueillir « La Provence pour le Bien commun ».<br /><br />Une campagne intersyndicale appelle alors à construire « un front contre le fascisme et l’extrême droite dans la culture et le spectacle ».
