Emmanuel Macron est arrivé à Bruxelles pour le Conseil européen. «On ne peut pas accepter de sacrifier la cohérence de notre agriculture et la sécurité alimentaire de nos compatriotes sur des accords qui ne sont pas finalisés. Nous demandons une clause de sauvegarde, soit un frein d'urgence. Si on a des marchés qui sont déstabilisés, il faut pouvoir stopper les choses», explique-t-il sur les accords sur le Mercosur.
