Depuis le début des années 1990, les magistrats sont informés que les éditeurs parmi les plus importants organisent des contrefaçons littéraire. Albin Michel s'est en particulier distinguée pour son pillage de la littérature et pour avoir publié plus d'un million de contrefaçons en moins de vingt ans. <br />Cet éditeur est accusé de recourir à la technologie du Traitement automatique du langage naturel pour produire de la contre-littérature et piller des manuscrits qui lui sont confiés. <br />Albin Michel n'hésite pas à déclarer que "l’existence même du préjudice n’est pas établie " et que les manuscrits qui lui sont confiés sont "libres de droit".
