En l’absence d’organe cérébrale, n’ayant ni la capacité de voir, ni la mobilité<br />adéquate, ni la faculté de se défendre, « L’homme sans tête » est immergé dans<br />un état d’insécurité permanente. Vide d’identité, vide d’histoire, vide de corps, sans<br />passé ni avenir, il cherche les raisons de son existence. « L’homme sans tête » est-il<br />vraiment un être humain ou une sorte d’animal inconnu ?<br />Marie AERTS
