« Ce que l’homme a de plus précieux est une brève épilepsie » lâche Paul Valéry dans Tel Quel II. Michael c’était ça : un(e) « Führer de vivre », une frustration qui éclate. De celle qui vous dynamite dès l’enfance sous les atours de King of Pop…<br /><br />Bon cet été je n’ai pas moonwalké en pleine rue. Pas osé. Au lieu de ça j’ai lu. Deux bios consacrées à Michael. « Michael Jackson, Pop life » d’Olivier Cachin et « Michael Jackson, La chute de l’ange » de Stéphane Koechlin. Je ne vous cacherai pas ma préférence pour la première, la seconde n’étant qu’un « fast book » comme Cachin l’a si bien dit.