Nigel Farage était déjà monté au créneau pour dénoncer la tournure que pourraient prendre les choses si le traité de Lisbonne était ratifié...<br /><br />10/07/2008 : Sarkozy, en temps que président temporaire de l'Union Européenne, annonçait déjà la couleur en refusant de donner acte aux décisions des peuples irlandais, hollandais et... français. Farage le met face à ses contradictions.<br /><br />Regardez bien les expressions du visage du nain : ce mec, par sa gestuelle, est un livre ouvert : il se moque avec arrogance totalement de son interlocuteur et de l'opinion des citoyens/électeurs !<br /><br />Depuis, les 27 ont abandonné la présidence tournante, soumise à complications et rivalités entre états, à un homme désigné, non pas démocratiquement par les états-membres, mais nommé en coulisses par les lobbies bureaucratiques arrosés par les oligarques financiers, Herman Van Rompuy, dit la serpillère humide...
