Situés sur un domaine privé, les objets de discordes dépendent de l'évêché. L'Église semble ici, et contre toute attente, y trouver son compte. « Nous avons envoyé un courrier avec AR à Mgr Rey, mais notre demande de retrait des antennes est restée lettre morte. » Pas même une réponse de principe de la part de l'évêché. Joint par téléphone, le communicant de l'institution préfère éluder le problème en renvoyant la balle aux opérateurs : « Si la nocivité de ces antennes est avérée, nous en tirerons les conséquences. Mais nous sommes dans l'attente d'éléments techniques pour estimer ce risque... » En attendant, le principe de précaution n'apparaît pas comme une notion biblique !!!!!!!!