Cette entretien avec Alain Laurent fait suite à la question déjà évoquée de la définition du tourisme éco-responsable. Nous abordons maintenant le problème des labels sur lesquels surfent aujourd' hui un certain nombre de "greenwasher" professionnels. Les propos d' A.Laurent mettent en relief la difficulté voir <br />l' impossibilité à mettre en oeuvre les garanties d' un label lorsque celui-ci concerne non pas un produit simple à contrôler (une ampoule par ex ...) mais de part le monde, une chaîne d' acteurs professionnels.
