C'est demain que les Algériens sont appelés à élire leur président. Pour la première fois, ce scrutin pourrait déboucher sur un second tour, après une campagne dominée par deux hommes : le président sortant et son ancien homme de confiance. Les islamistes appellent à voter Abdul Aziz BOUTEFLIKA.<br /> En Kabylie, autour de Jijel, le maquis a été tenu avec 3000 hommes, de 1992 à 2000. En 1992, quand l'armée algérienne a interrompu les législatives après la victoire islamiste au premier tour , ils ont pris les armes, contre l'Etat, disent-ils. Dès1997, l'AIS-Algérie a conclu une trève avec l'armée algérienne. En 1999, BOUTÉFLIKA a amnistié l'Armée Islamique du Salut. Les repentis ont rasé leur barbe et regagné la vie civile. Les chefs, eux, ont gardé leurs armes. <br /> Depuis la trève, l'émir Madani MEZRAG n'a donné aucune interview. Aujourd'hui, il appelle à voter BOUTEFLIKA, même si son objectif demeure un état islamique : "On ne peut pas éduquer <br /><br /><a href="http://www.ina.fr///video/2538483001007/elections-pr-sidentielles-alg-riennes-l-ais-appelle-voter-bouteflika.fr.html#xtor=AL-3" target="_blank" style="color:#0086b0;">Retrouvez ce media sur Ina.fr</a>
