Le poète québécois Émile Nelligan (1879 – 1941),<br />a écrit l’ensemble de son œuvre entre 16 et 19 ans.<br />À 18 ans, contre la volonté de ses parents,<br />il abandonne tout pour se consacrer à la poésie<br />et à peine âgé de 20 ans et atteint de mélancolie,<br />il est amené par son père dans un hôpital psychiatrique,<br />arraché ainsi à sa mère qui n’ira le voir qu’une seule fois.<br />Il restera interné jusqu’à sa mort, le 18 novembre 1941.<br />« Je suis persuadé que sa mère est morte de chagrin »,<br />dira le pianiste, chef d’orchestre et compositeur québécois André Gagnon.<br />En 1988, André Gagnon compose l’opéra Nelligan, sur un livret de Michel Tremblay.<br /><br />Texte :<br />http://felix.cyberscol.qc.ca/LQ/auteurN/nelligan/portrait.html<br /><br />Ambiance musicale :<br />Charles-Valentin Alkan, Préludes Op. 31, 12 du livre 2, Le temps qui n’est plus, Andante en si bémol min.,<br />http://www.felipesarro.com/produtos_descricao.asp?lang=en_US&codigo_produto=50<br />avec la permission de l’artiste, le pianiste Felipe Sarro.<br />http://www.felipesarro.com/