Je noie les circonstances dans une prose massive<br />Ta bouche sensuelle et rouge me fait retarder l'heure<br />Tes jambes en bas se tordent dans des poses lascives<br />Le séjour du week-end se fait plus enjôleur<br /><br />En relief sous ton haut je devine un dessin<br />Ouvrant à tes élans mes portes grandes ouvertes<br />Ma ligne de mire s'étrangle au goût de tes seins<br />Tu ronronne à coté les lèvres entrouvertes<br /><br />Je peux pas expliquer les mirages qui rendent fous<br />Les erreurs commises dans mes ouvrages réservés<br />Tu veux pas tout montrer tu fais celle qui s'en fout<br />Le vent pour seule étreinte, la nuit pour te lover<br /><br />Je veux t'offrir la vie dans un papier cadeau<br />Et sentir près de moi ta peau douce rapprochée<br />Essuyer tes pleurs sur le dernier des radeaux<br />J'entends ton souffle même la ligne raccrochée<br /><br />Voir mes mes soleils à l'aube de tes vitres étoilées<br />Mes cordes flexibles à tes soupirs qui m'entrainent<br />J'entends ton rire se tendre à mes arcs cerclés<br />Un foulard qui s'envole dans ton parfum qui traine
