Écrites à la mort de Chopin en 1849, les Consolations révèlent un Liszt doucement mélancolique, presque chagrin. Occupé à la rédaction d'un livre en hommage à son confrère polonais, Liszt semble s'imprégner du langage de son défunt ami, particulièrement à travers cette troisième consolation, sans doute la plus connue des six.<br />Sylvain Blassel joue cette troisième Consolation, S.172, sur une harpe Erard, style gothique à colonne torsadée, de 1907.<br /><br />Written in 1849 as Chopin passed away, the Consolations divulge a slightly gloomy Liszt, almost sad. As he was writing a book in tribute to his Polish colleague, Liszt seems to have adopted his deceased friend's language, especially in this third consolation, probably the most popular of all six pieces.<br /><br />Sylvain Blassel performs this third Consolation, S.172, on a gothic styled, twisted column Erard harp from 1907.<br /><br />http://www.sylvainblassel.com<br />http://www.harpebudin.com<br />http://www.laurebourru.fr