Après avoir modelé (cf 1-Mopti) puis cuit (cf 2-Kalabougou)... les potières vont vendre leurs poteries. Par la route ? Vous n'y pensez pas : ici, la grande artère c'est le Fleuve Niger (le Djoliba). Très bien organisées, les potières du village de Farako : Elles ont acheté leur propre bateau (une grande "pinasse" équipée d'un moteur Mercedes récupéré sur un camion "au revoir l'Allemagne").<br /><br />L'arrivée, en fin de journée, près du marché aux poteries de Ségou, le Wall Street de la poterie pour toute la sous-région, est un spectacle dont je ne me lasse pas.<br /><br />+ d'info : http://mali-pense.net
