Extrait de l'album "les machines absurdes" (sorti en 2000), une chanson que William Sheller a régulièrement repris en concert depuis<br /><br />J'ai trouvé dans mon piano<br />Quelque chose qui ne m'appartient pas,<br />Une mélodie et des mots,<br />Quelque chose que je n'écrirai pas.<br /><br />Ça vient tout seul dans les doigts,<br />Je ne mens pas,<br />Et puis ça parle de toi…<br />Peut-être un peu fort, quelquefois,<br />Mais ils ne faut pas t'en faire pour ça.<br /><br />En passant derrière mon dos<br />Ou bien un jour où j'étais pas là,<br />Ça s'est mis dans les marteaux,<br />C'est tombé sous les touches en bois<br /><br />Et quand ça vient dans les doigts,<br />Je ne mens pas,<br />Je te jure : ça parle de toi…<br />Peut-être un peu fort, quelquefois,<br />Mais ils ne faut pas t'en faire pour ça.<br /><br />Mais si ça me vient dans les doigts,<br />Quelquefois,<br />Même si ça parle de toi,<br />On finit toujours, on dit çà,<br />Par oublier même tout ce qu'on ne voudrait tout de même pas,<br />Alors faut pas t'en faire pour moi