Depuis l'antiquité, certains philosophes[Lesquels ?] s'accordent pour penser que tout ce qui existe possède une identité, une apparence, une réalité, et que celle-ci est soumise nécessairement au concept du beau[réf. nécessaire]. Tout être peut être qualifié de beau ou de laid avec toutes les nuances intermédiaires possibles.<br />Le philosophe Karl Jaspers, qui après la seconde guerre mondiale tenta, en tant que psychiatre, de trouver un sens à cette atrocité que fut la guerre, fut également amené à réfléchir sur le concept du beau. Selon lui, le beau s’applique en fait sur deux dualités différentes : celle être primaire (matière morte) contre être complexe (individu), puis sur la dualité naturelle du fond contre la forme.
