La loi française prévoit la nomination graduelle de 40 % de femmes aux postes de responsabilité de la fonction publique, avec pénalités à la clé. Pourtant, regrette Catherine Procaccia (Val-de-Marne), les femmes ne représentent que 21,4 % des postes de direction, malgré la création d’un haut fonctionnaire nommé par décret auprès de chaque ministre, chargé de vérifier sa bonne application. <br /><br />Au vu des dernières nominations, 28 hommes et 3 femmes sur 31 préfets, 2 femmes sur 6 recteurs d’académie, ou 8 hommes parmi 9 diplomates, la sénatrice se demande comment le gouvernement entend rétablir