Konk kerne, ti-kêr da viken par Dominique Diéterlé.<br /><br />Paroles:<br />Y’a des bâtiments, y’a des habitants,<br />Y a des commerçants et puis y’a des passants.<br />C’est un centre-ville un peu trop tranquille<br />Que certains édiles<br />Veulent brader deux cents mille.<br /><br />Refrain :<br />Concarneau, retrouve ta mémoire,<br />Concarneau, regarde ton histoire,<br />Ton patrimoine, si tu veux pas qu’on l’vende.<br />Crie plus fort, jusqu’à ce qu’ils t’entendent.<br /><br />2 Des chics magasins, des apparts rupins,<br />Et des promoteurs qui voudraient faire leur beurre<br />Contre tous les experts<br />Face au monde des affaires<br />Touche pas à ma mairie où j’me mets en colère<br /><br />3 Une maison du peuple, des espaces piétons,<br />Des ateliers d’art, des lieux d’exposition,<br />Y’a des tas d’projets qu’on leur a proposé.<br />Encore faudrait-il, qu’ils veuillent nous écouter<br /><br />4 Ce que nous voulons pour la population<br />Ce que nous exigeons, c’est d’la concertation<br />C’est notre bien commun<br />Il nous appartient<br />Vous n’avez pas le droit de l’ privatiser<br />Nous sommes beaucoup, nous avons signé<br />Nous sommes des centaines de concarnois décidés
